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Tragique institution de l'auto-négation (ou naissance excrémentielle d'un sujet social) a été enregistré dans le courant de l'année 2006, le morceau dure un peu plus de 8mn.
A la base écrit pour une chorale, il sera finalement étendu à un ensemble instrumental plus diversifié.
Pour la petite histoire, les choristes qui devaient participer au projet se décommandèrent les uns après les autres,
en apprenant à quel point les caprices de l'artiste étaient terribles.
En effet, Milan avait, dit-on, pratiqué lui-même la chirurgie sur les cordes vocales de l'une de ses chanteuses afin que la voix de celle-ci
change légèrement de timbre, et gagne quelques demi-tons. Il avait également séquestré certains de ses chanteurs lors des répétitions pour la représentation
de sa pièce précédente, ceux-ci n'étant pas parvenus à un résultat jugé satisfaisant.
Extrait : |
Les avortons oniriques (farandole éclectique) a été écrit pendant le courant de l'été 2007, le morceau est inspiré d'un thème original issu du morceau "Nightwind", écrit par le groupe Nuit noire.
En effet, fasciné par le morceau, Milan ne dort plus la nuit. La musique, dira-t-il, "se répétait sans cesse dans ma tête". Peu de temps après, il décide d'adapter le thème à sa manière.
On notera également que la dernière partie du morceau est fortement influencé par la musique de Philip Glass, autre hypnotiseur notoire.
Milan retrouvera peu à peu le sommeil après avoir terminé en quelques jours, dit-on, le dit morceau. Il ne souhaite cependant pas s'étendre sur cette
composition qu'il dut faire malgré lui, et dont il n'est que peu fier.
C'est donc avec hésitation qu'il en donnera une représentation, sous les demandes incessantes de ses fameux 'chiens adeptes'.
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Ecrit entre 2002 et 2011, ce morceau est une succession de crisées, malaises et de rêveries bienheureuses.
Empreint de nostalgie, c'est une prise de conscience du temps passé, un bilan du vécu. Il parle de ce présent haï qui sera un jour vénéré...
Giacomo Milan tient à remercier Jérémy Trallero pour sa participation à l'introduction (guitars and marmite).
Par contre, il ne félicite pas ses anciens ingénieurs du son, qui avaient propagé en 2009 une version vinyle pirate du morceau. Il leur fit d'ailleurs payer le prox fort pour cette traîtrise.
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L'écriture de 'Esclavagiste rêveuse, surplombée d'une pirouette technique (sous fouets et applaudissements)' a débuté en 2003, mais le premier enregistrement ne sera disponible qu'en 2011.
En effet, la musique subira de nombreux remaniements. En 2004, le morceau durait près de 11mn. Deux ans plus tard, il était amputé de près de 5mn.
L'enregistrement de 2006 n'est pas disponible, jugé de mauvaise qualité par l'auteur.
En 2010, le tout sera réécrit, réinterprété et réenregistré.
Il est ici question de la lourdeur, de la pénibilité d'un quotidien absurde, auquel on n'échappe qu'en rêvant debout.
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Les courtes sont en fait des morceaux très brefs, pour l'apéritif.
La première courte (Ce qu'il ne dira pas à Susan) a été composée en automne 2002, quasiment sous sa forme finale.
Après de longs mois d'isolement, de recherches et de tâtonnements (dont certains fonderont les bases de futurs morceaux), l'idée de cette courte prend forme lors d'une ballade en forêt une fin d'après-midi.
C'est une étape importante dans le développement de la musique de Giacomo Milan, puisqu'elle a permis un épanouissement à différents niveaux.
On parle ici d'un amour non révélé, d'une solitude à la fois passionnée et fataliste.
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Les courtes sont en fait des morceaux très brefs, pour l'apéritif.
La deuxième courte (Décadence silencieuse) a été réalisée en 2007, dans la foulée des "Avortons oniriques".
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L'écriture de "Bombardée de grillons nocturnes" commence en 2003, en même temps que l'"esclavagiste rêveuse", un peu avant celle de "Au crépuscule de l'âge".
La partition subit d'importants remaniements début 2006, lorsque Milan part en voyage à Bargovie. Là, sous les bombardements qui avaient parfois lieu les nuits d'été, il rencontre Ezra Berzegovi.
Celui-ci devint son père spirituel, bien que dénigrant profondément sa musique. C'est grâce à lui que Milan serait parvenu à décupler sa "férocité technique".
Des années plus tard, la partition est retrouvée dans les gravats de Bragovie. Après quelques adaptations, une série de représentations sont enfin données fin 2011.
L'artiste joue à guichet fermé tous les soirs, mais il décide pour cette série de concerts de ne laisser aucune trace d'auditeurs.
Une fois la représentation terminée, la salle est verouillée et aussitôt incendiée.
La composition sera qualifiée d' "intense et contrastée", bien qu'elle dure à peine plus de 5 minutes. Milan la reconnaîtra des années plus tard comme l'une de ses meilleures inspirations.
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L'écriture de "Métamorphoses fanantes - Karôshi sur échafaud" a débuté en 2003 ; c'est donc l'une des premières compositions de Giacomo Milan.
A cause de sa durée, de la variété des instruments utilisés et surtout parce que le morceau fait la part belle au grand orgue, il aura été indéniablement l'un des projets les plus complexes du maestro.
Aucune représentation complète ne sera donnée avant 2013 : en 2011, Giacomo se fait accepter au sein d'un monastère isolé dans un désert, grâce à ses célèbres talents d'usurpateur.
S'enfermant dans sa cellule la journée, il fait venir la nuit des caravanes de prostituées (probablement désireuses de vérifier si les hommes de dieu sont aussi bien membrés qu'on le raconte).
Il forme alors une chorale secrète, travaille à la composition la journée, tout en convoitant le grand orgue de l'institution.
Ne disposant pas de papier, il doit tout retenir ; ce qui lui donne des vergetures énormes au front.
Finalement, il empoisonne les moines un soir de tempête, et donne sa grand-représentation.
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MAELSTROM ANTEPOSE AUX ABSINTHES Le morceau est en cours d'écriture.
Il est composé d'une série de courts passages (crisées, courtes...), s'intégrant au final dans une "prose opératoire". |
SANS NOM Le dernier morceau des "anciennes séries", partiellement composé il y a une dizaine d'années, jamais terminé. |